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#86

Juin 2021

Loco Beaux livres : photo, architecture, art

Nouveautés
Jacqueline Salmon

Futurs antérieurs

Georges Didi-Huberman.

Cette monographie introduite par un texte de Georges Didi-Huberman reprend près de quarante années de création photographique et autres. Elle revisite la chronologie des différentes séries de Jacqueline Salmon pour les tisser entre elles et mettre en avant les problématiques que l’artiste continue d’explorer : les questions de l’espace, de l’écriture et de l’archive.

Avec les contributions de Paul Ardenne, Jean-Christophe Bailly, Jean Baudrillard, Christine Bergé, Christine Buci-Glucksmann, Michèle Chomette, Hubert Damish, Georges Didi-Huberman, Bruno Duborgel, Jean-Christian Fleury, Magali Jauffret, Michel Kelemenis, Christophe Loyer, Michel Poivert, Jean Louis Schefer, Paul Virilio.

29,5x19,5 cm, 480 pages en quadrichromie et en noir,environ 400 reproductions, couverture pleine toile avec image et marquage argent, 45 €

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Jacqueline Salmon

Une vie réfléchie

SYLVIANE VAN DE MOORTELE

Jacqueline Salmon, une vie réfléchie, inaugure la nouvelle collection de biographies, « Histoires de photographes ». L’approche, tout en douceur de Sylviane Van de Moortele, revient sur toute une vie, de l’enfance et ses fêlures, des rencontres et des initiations. Elle nous accompagne dans l’intimité d’un artiste, touchant du doigt une œuvre, qui se nourrit de la vie et vice-versa, traversant les grandes et les petites histoires, les joies et les cicatrices...

12x16 cm, 96 pages, 20 reproductions en noir, broché, 13 €

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Discover

François Daireaux

Emmanuel Lincot.

Discover nous dévoile les contrastes d’une Chine contemporaine, en construction incessante, faisant surgir des villes de terre comme par magie. Malgré la violence de ce rythme effréné, il se dégage du travail photographique de François Daireaux et des textes du sinologue Emmanuel Lincot, une rare intensité poétique.

24x32 cm, 260 pages, 120 reproductions en quadrichromie, relié plein papier. Textes français/anglais/chinois. 45 €

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2 juillet 2021 : Soirée François Daireaux au Musée Régional d’art contemporain de Sérignan
19 h : Projection du film "DUI MA ?"
20 h : Rencontre avec François Daireaux et Emmanuel Lincot autour du livre.

Le Jardin d’après

Anne-Marie Proulx

Anne-Marie Proulx a construit son livre de photographie en suivant les parcours de la protagoniste du roman Le premier jardin (1988) de l’auteure Anne Hébert. Elle s’inspire librement de la façon dont on y imagine une ville du Nouveau Monde regardée par les yeux d’une actrice de théâtre habitée par les femmes qui l’ont précédé, ainsi que par les rôles qu’elle a elle-même été appelée à jouer dans sa carrière et au fil des saisons de sa vie personnelle.

14x20,5 cm, 192 pages, environ 125 reproductions, broché sous jaquette, 22 €

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URSS ÉTÉ 1991

Jean-Christophe Béchet

« Août 1991 : je prends un billet sur Aéroflot et j’arrive à Moscou
au moment où cet étrange coup d’état se déroule. Gorbatchev
y perd le peu de crédit qui lui reste et Boris Eltsine donne le coup
de grâce à une Union soviétique en pleine décomposition. »
30 ans après, Jean-Christophe Béchet reconstruit à partir des
photographies et des documents de l’époque, son récit de la
chute d’un monument de l’histoire, en photographie et en texte.

17x24 cm, 120 pages, insert de papier de taille différente pour les textes, environ 100 reproductions en bichromie et en quadrichromie, reliure intégra pleine toile avec images et marquage, 25 €

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Marronnage

L’art de briser ses chaînes

GENEVIÈVE WIELS. THOMAS MOUZARD.
Préface de Christiane Taubira.

Dans tous les pays où les bateaux négriers les ont transportés de force, les personnes réduites en esclavage ont pris la fuite. Elles sont appelées esclaves « marrons », on dit qu’elles sont parties en marronnage. En Guyane hollandaise (Suriname) des esclaves s’enfuient en grand nombre, protégés par l’immense forêt amazonienne toute proche où ils forment des sociétés.
L’art de briser ses chaînes est l’histoire peu connue du marronnage. Ces sociétés marronnes ont d’abord dû défendre leur liberté, se construire sur ce qui restait de leurs cultures africaines puis se développer et, la paix revenue (autour de 1860), exprimer dans l’art leur sens du beau : le moy. Sous les doigts de l’artiste, les objets du quotidien deviennent alors des œuvres d’art fabriquées pour soi ou offertes à l’autre, en particulier à la femme ou l’homme aimé. Marronnage, l’art de briser ses chaînes, c’est aussi le tembe, l’art des Marrons : sculpture, gravure, broderie, peinture.

17x24 cm, 192 pages, 150 reproductions, couverture brochée sous jaquette, 27 €
Ouvrage publié en coédition avec la Maison de l’Amérique latine.

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Éditions Loco
6, rue de Montmorency. 75003 Paris. (+33)1 40 27 90 68

www.editionsloco.com

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